...Un Arabian au port de Nuln....

Le navire de commerce Tiléen était arriver au bout de son long voyage, et venait d'accoster dans les Docks de la cité. Le port de Nuln était parsemé de grues. Certaines, actionnées par les dockers déchargeaient les bateaux de leur marchandises tandi que d'autres encadrés d'hallebardiers chargeaient de caisses empli d'armes des bateaux armées, marchandises certainement destinées à la capitale d'Altdorf.
Le contrat arrivait à son terme...lustrer le pont, la calle et les apartements, aider le coq au fourneau et principalement défendre le navire en cas d'attaques pirates... Le capitaine Cellini ouvrit le portique de débarquation alors que des marins ratachais le batiment aux pilones des docks...

"Tient v'la ta paye l'bronzé !" Dit-il à l'homme qui se tenais près de lui "Les hommes se chargeront eux même du déchargement avec les dockers, allez va maint'nant!".

Au premier coup d'oeuil, on ne remarquerai rien de l'origine de l'étranger. En effet, il portai des gants de cuir brun et de hautes bottes. Sur son dos une longue cape grise tenu par une ceinture de cuir grossier lui descendait à mi-mollet, et une large capuche lui recouvrai d'ombre le visage. Oui...au premier coup d'oeil l'homme aurait pu être confondu avec un de ses soldats bretonnien, à la seul particularité est que l'homme n'avait pour arme qu'un baton de marche et qu'il était d'origine Sudiste. Il pris la bourse que lui tenais le capitaine, récupéra sa besace qui prit par dessus l'épaule puis descendit du portique de débarquation sans mot dire...

*Bien me voilà en possession de 19 courones au total. Cette ville est grande et personne ne poura me retrouver dans tout ce peuple. Prochaine étape, trouver un nouveau travail.*

"Ou est-ce que je pourrai trouver une auberge dans tout ça ?" chuchotat-il au milieu de la foule du port...

Whareffe était enfin arrivé sur le port après un loin voyage lui rapportant quelque couronnes d'or. Très peu d'argent comparé à la sueurs qu'il fit couler en se tuant au travail.
Il ne connaissait pas l'endroit et ne pouvait que pour l'instant observer les activités du port.
A sa gauche les bruits de chair attira son attention, sur un ring un Elfe et un Nain se batte, un combat qui d'ailleurs et a la hauteur de la haine des candidats. Pret de se ring une table des paris, avec deux individus à cette table, deux hommes, l'un inscrit les gens qui le souhait à un combat, l'autre enregistre les paris sur le vainqueur potentiel...
Plus a droit c'est odeur des marchants de poisson qui attirait le nez de Whareffe, la pêche avait été bonne aujourd'hui pour les marins. Enfin un peu partout des groupes de personnes discutent, d'autre vont vers la ville, et quelque garde joue au cartes sur une table...
Pendant que Whareffe scruté les activités du port, un enfant le bouscula dans sa course...

"Pardon monsieur" dit il avant de reprendre son chemin...

Il vit de loin les combats qui animaient les foules de ce coté là...mais le combat ne l'interessait pas. "Les arts martiaux ne doivent te servir qu'à canaliser ta force interrieur et tu ne doit utilisé ta maitrise que dans le seul but de défendre ta vie ou celle d'autrui si ce n'est que pour un acte honorable mon fils" lui disait le maitre Huang originaire des terres Nippone...
Au loin, l'odeur du poisson lui parvenais aux narrines, seulement l'homme encapuchoné avait fini par être dégouté des ragouts aux fruits de mer et soupes de poissons quotidienne que le coq ne cessait de préparer à l'équipage.

*mfff ! mon ventre cri famine, ou puis-je trouver une échope qui ne sert pas que des plats de marins...allons voir plus loin...*

C'est alors qu'un enfant bousculat le jeune Whareffe. Celui-ci, d'un geste vif porta sa main à sa bourse tout en regardant d'où venait l'enfant qui pourrait être à sa poursuite

(Si sa bourse à disparu, Whareffe se jette directement à la poursuite du gamin sans prendre la peine de vérifier qui le poursuit)

Les réflexes impressionnant de Whareffe lui fit tout de suite remarquer la perte de sa bourse, le garnement bien en vu qui penser avoir réussit son coup de pensait pas que Whareffe comprendrait.
Il prit alors le jeune enfant par le colle qui prit de peur lui rendis sa bourse et parti en pleurant...
Un groupe d'autre garnement attendaient leurs amis qui revenait vers eux.

Un gardes vit la scène et s'approcha de Whareffe...

"Que se passe t'il monsieur?"

La capuche sur la tête, Whareffe baissa la tête afin de garder son visage bazané dissimuler. Il fit semblant de trop de respect afin de justifier son geste et accentua la chose en s'inclinant légèrement

"Qui a il mes sirs ?"

Whareffe feinta un regard vers l'enfant au loin

"Ho ! rien de bien grave mes sirs ! Un enfant qui à eu la bonté de ramasser ma bourse tombée alors que je croyais qu'il me l'avais volé ! ha haha ! Rien de grave mes sirs, d'ailleurs je ne sais pourquoi il s'est mis à pleurer, sans doute l'ai-je fait peur par ma réaction !"

...puis il changeat de sujet...

"Hum, si je puisme permettre, je vient d'accoster sur le navire marchand Tiléen du capitaine cellini et hum ! je cherche une échope voir une auberge dans le centre de la ville afin de trouver gite et couvert, pouvez vous m'aidez ?..."

Le garde fut assez réconforter en entendant les paroles de Whareffe, cet homme lui semblait de haut rang vu son langage.
Il reprit donc une allure plus à l'aise ainsi que la paroles.

"Désolé de vous avoir importuné brave homme, mais vous comprendrez ma réaction. Pour l'auberge je vous conseille la plus connu de Nuln, l'auberge des gueulards, un nom rustique certe mais de très bonne fréquentation et l'ambiance et digne de ce nom, vous y prendrez sans nul doute trés vite le goût. Vous continuez tout droits, vous ne pouvez pas la raté. Je vous souhaite bonne route. Si vous avez un autre problème n'ésitez pas."

Puis le garde retourna avec les autres continuer sa partit de carte en allumant sa pipe de belle qualité.




Si tu souhaites te rendre à l'auberge, poste y directement, ou si une autre activité te plait dans le port fait comme bon te semble

Dans l'ombre de sa capuche, whareffe esquissa un petit sourir amusé. Il regarda son interlocuteur partir puis leva les yeux au ciel...

*Je n'est pu devenir le grand chamelier que tu désirais père, mais l'instruction de tes connaissances du langage me sert quand bien même autrement. Peut être un jour, quand le vent changera, j'élaborais mon propre commerce et il portera le nom du plus grand des marchands du desert*

"...le commerce Al Kabir..." chuchotat-il

"Bon! où est cette auberge empli de gueulard ?!"

Whareffe s'enfonca dans la foule et se mit à la recherche de l'auberge dans l'immense cité...

J'attend ton poste à l'auberge puis je te réponderai.